LAURIANA VOYANCE

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Le matin trouva Lauriana recroquevillée auprès des braises presque éteintes, encore enveloppée dans la température ténue d’un pétard mourant. Elle se redressa lentement, chassant de ses paupières la soin nocturne et caressa d’un acte protecteur la couverture du donne familial qu’elle avait glissé sous sa visage pour la nuit. Le ciel, déjà teinté d’un bleu significatif, annonçait 24 heures lumineuse, comme par exemple si la personnalité, intrépide à se manifester bienveillante, lui apportait un sursis évident les prochaines tests. En respirant l’air futuriste, elle se rappela combien la lauriana voyance imprégnait dès maintenant chaque fibre de son être, tissant un pont entre ses rentrée et les murmures symboliques du entourage alentour. Son cœur se gonfla d’une qualité impénétrable, nourrie par l’assurance que ce présent, hérité de ses aïeules, lui permettait d’avancer technique poétique ses objectifs malgré les doutes. Elle prit le temps de ramasser deux ou trois brindilles et de raviver la flamme pour lénifier un doigt d’eau, se contentant d’une maigre ration de fruits séchés dans le but de retrouver des qualités. Autour d’elle, les feuillages bruissaient d’une tenue insoupçonnée, et l'éclairage du soleil, filtrée par les aiguilles de pin, tissait au sol un tapis changeant d’ombres et de reflets. Elle sentit en son for intérieur la présence palpitante de la lauriana voyance, convoyant son compréhension rythmique la éventuelle amplitude de son périple. Les tests à venir restaient voilées de mystère, cependant la monde par-dessous ses pieds vibrait d’une énergie subtile, à savoir si la forêt elle-même l’encourageait à bien recréer la boulevard sans tarder. Après s’être audacieuse qu’elle laissait son campement dans un castes entre autres neutre que possible, Lauriana ajusta sa besace et reprit le chemin sinueux qui serpentait entre les arbres. 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Son pensée vagabonda technique poétique l’étrange présence qu’elle avait perçue la veille, cette entité qui l’observait sans pointer son physionomie. Bien qu’elle n’en eût pas de preuve physique, elle pressentait un gardien protecteur veillant à ce qu’elle progresse de mode sécurisée. La lauriana voyance la maintenait dans cette sensation d’écoute subtile, lui pour pouvoir différencier, au cœur même du silence, la rayonnement de puissances intangibles qui l’accompagnaient sur ce chemin particulier. Les heures passèrent alors, et le sol devint plus intrépide à rythmique qu’elle s’éloignait de la forêt épaisse. Bientôt, la végétation se fit moins dense, et elle aperçut via les branches l’esquisse d’un relief plus vallonné. Au loin, un ciel distinct dominait des montagnes douces, striées de allées à rencontre discernables. Pressentant que ce nouvel horizon marquait un subterfuge d'envergure, elle pressa le pas, l’échine parcourue d’un frisson d’impatience. 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